
Appel à projet 2025 : Sport et coopération décentralisée
Zone couverte par l’aide : Les aides Nationales et Européennes
Permanente
Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères (MEAE), le ministère des Sports, de la Jeunesse et de la Vie associative, l’Agence nationale du Sport (ANS), l’Agence Erasmus+ France Jeunesse & Sport, le Comité national olympique et sportif français (CNOSF) ainsi que le Comité paralympique et sportif français (CPSF)
Subvention
À propos
Nom de l'aide
« Appel à projet 2025 : Sport et coopération décentralisée »
Description
L’appel à projet Sport et coopération décentralisée vise en particulier à : soutenir les partenariats internationaux entre collectivités territoriales ; soutenir l’intégration des pratiques sportives dans la vie locale ; favoriser le sport comme outil de mise en œuvre des politiques publiques territoriales dans l’esprit des valeurs olympiques, des valeurs paralympiques de Paris 2024 ; valoriser l’expertise territoriale française en matière de sport ; renforcer la place du sport dans la coopération décentralisée.
Bénéficiaires
Les structures bénéficiaires sont les collectivités territoriales métropolitaines et ultramarines françaises.
Informations supplémentaires
Critères d’éligibilité
Conformément à la stratégie d’héritage et de durabilité de Paris 2024, leurs projets peuvent s’insérer autour des quatre priorités mentionnées ci-après.
Priorité 1 : le sport pour bouger plus…
- La pratique sportive pour lutter contre la sédentarité et prévenir des maladies chroniques.
- La pratique sportive pour améliorer la santé mentale et contribuer au développement personnel.
Priorité 2 : le sport pour éduquer et s’engager…
- Le sport pour transmettre des valeurs, prendre confiance en soi, apprendre à vivre ensemble.
- Le sport pour améliorer les capacités de concentration et de persévérance en faveur de l’épanouissement et de la lutte contre le décrochage scolaire.
Priorité 3 : le sport comme outil d’inclusion, d’égalité et de solidarité…
- Le sport pour développer l’employabilité et remobiliser des publics éloignés de l’emploi, développer et valoriser les compétences transversales.
- Le sport pour promouvoir le rôle des femmes, lutter contre les stéréotypes, permettre Ieur émancipation.
- Le sport comme espace où, pour les personnes en situation de handicap, la différence est valorisée.
- Les valeurs et la pratique sportive (respect, fair-play, diversité, égalité) pour renforcer les socles fondamentaux de sociétés pacifiques, pour contribuer à la rencontre entre nations et au dialogue et pour diffuser des messages de paix, de solidarité et de tolérance.
- La pratique sportive pour nourrir le lien social et engager les communautés.
Priorité 4 : le sport comme moteur de la transition écologique…
- Les valeurs et la pratique sportive pour nourrir un autre rapport à la nature et à l’environnement, ou encore développer des modes de vie plus respectueux et plus durables.
- La pratique sportive et les événements sportifs comme plateformes uniques pour sensibiliser les populations et développer des innovations motrices de la lutte contre les changements climatiques.
D’autres détails sont à consulter sur le site internet.
Date de dépôt
La calendrier prévisionnel est le suivant :
Date de clôture du dépôt des dossiers de candidature : 6 juin 2025
Instruction administrative des dossiers de candidature reçus : juin/juillet 2025
Comité de sélection : juin/juillet 2025
Annonce des lauréats : juin/juillet 2025.
Montant de l'aide
Le cofinancement accordé peut aller :
- jusqu’à 70% du coût total du projet pour les projets menés avec les PMA ;
- jusqu’à 50% du coût total du projet, pour les projets menés avec les autres pays éligibles à l’APD (hors PMA) ;
- jusqu’à 30% du coût total du projet pour les projets menés avec les pays non éligibles à l’APD.
Dans le cas des projets multi pays, les collectivités territoriales françaises peuvent choisir entre appliquer ces différents maximas de taux de cofinancement à chacune des parties du projet en fonction du pays concerné, ou appliquer un taux unique de 60% à l’ensemble du projet. Les collectivités territoriales françaises doivent obligatoirement contribuer à hauteur de 10% minimum du budget global du projet. Leurs dépenses de valorisation, notamment celles relatives aux salaires des agents territoriaux des collectivités territoriales françaises, ne peuvent pas dépasser 500/ode
Leur contribution totale (numéraire et valorisation) au projet. Le MEAE ne valorise aucune composante de son appui. Il est exclusivement versé en numéraire. Une participation de la collectivité territoriale étrangère partenaire correspondant à ses moyens doit être recherchée ainsi qu’un soutien des autorités de l’État partenaire ou du secteur privé lorsque cela est possible. Le cofinancement est versé par tranche annuelle selon la répartition opérée dans le budget du projet. Un CRTF intermédiaire doit être produit pour obtenir la tranche de subvention suivante. Enfin, pour la dernière tranche, 80% de celle-ci sera versée. Les 20% finaux le seront à la réception du CRTF final.
Contacts et informations supplémentaires
Les collectivités territoriales françaises sont invitées à prendre le plus en amont possible tous les contacts nécessaires auprès des services placés sous l’autorité de l’Ambassadeur de France dans le ou les pays partenaires du projet, en particulier le service d’action et de coopération culturelle (SCAC) qui sera leur interlocuteur privilégié pour éclairer le contexte local de leur coopération : liste des correspondants Coopération décentralisée dans les ambassades.
L’équipe de la DCTCIV se tient également à la disposition des porteurs de projets pour un accompagnement tout au long de la procédure de candidature et au-delà :
- Jordan BARLEMONT, jordan.barIemont@diplomatie.gouv.fr.
- Secrétariat, secretariat.dgm-dctciv@dipIomatie.gouv.fr.